Pour ou contre la dot?

Moi, je n'en démords pas! Tu viens lorgner dans ma couvée, tu claques "tes arguments"!
Si t'es d'accord, tu n'iras jamais dire que la coutume a du mauvais. Moi, de mon coté, je bénirai les ancêtres d'avoir inventé une transaction aussi intéressante. Seuls ceux qui regarderaient de loin, assimilant tout ça à du commerce, auraient à redire.

miéhdzâ a écrit:

Moi, je n'en démords pas! Tu viens lorgner dans ma couvée, tu claques "tes arguments"!
Si t'es d'accord, tu n'iras jamais dire que la coutume a du mauvais. Moi, de mon coté, je bénirai les ancêtres d'avoir inventé une transaction aussi intéressante. Seuls ceux qui regarderaient de loin, assimilant tout ça à du commerce, auraient à redire.

Je suis d'avis avec toi mais j'aime aussi condamner les abus moadzang toi même tu sais l'éboulngandzanga qui entoure cette histoire de dot Parfois cela n'a plus rien à avoir avec l'idée des be mvamba. Quand on me parle de dix millions pour fonder une famille, je tremble de partout et là, je commence vraiment à

NGUEMA MINKO a écrit:

(...) En d'autre termes,oui, c'est conformément à la culture fang que les familles demandent des sommes exorbitantes (...)

Excuse-moi moadzang, permets-moi d'être sceptique sur cette affirmation qui vient de toi. Je ne crois pas que ce soit conformément à la culture fang que les familles demandent des sommes exorbitantes. Je crois que si elle reconnaît et promeut la dot, la culture reste cependant silencieuse sur le quota à exiger, laissant cette option à la discrétion des familles et surtout à celle de la fille. Autrement dit pour moi, si la culture exige bien la dot, en revanche, à moins que je ne me trompe, elle n'exige pas en retour de somme précise. Mais, je te l'ai dit, je peux me tromper... Je serais plutôt du même avis que moadzang MOT BINAM que sur cette question des sommes, il y a plutôt un

a écrit:

éboulngandzanga

. Au fait moadzang, que signifie ce terme?

je pense que les sommes fantastiques dont il est ?ion sont une pratique qui s'est installée avec la détérioration du niveau de vie, l'austérité de la conjoncture économique.

adzidzon a écrit:

Excuse-moi moadzang, permets-moi d'être sceptique sur cette affirmation qui vient de toi. Je ne crois pas que ce soit conformément à la culture fang que les familles demandent des sommes exorbitantes. Je crois que si elle reconnaît et promeut la dot, la culture reste cependant silencieuse sur le quota à exiger, laissant cette option à la discrétion des familles et surtout à celle de la fille. Autrement dit pour moi, si la culture exige bien la dot, en revanche, à moins que je ne me trompe, elle n'exige pas en retour de somme précise. Mais, je te l'ai dit, je peux me tromper... Je serais plutôt du même avis que moadzang MOT BINAM que sur cette question des sommes, il y a plutôt un

a écrit:

éboulngandzanga

. Au fait moadzang, que signifie ce terme?

Le terme Eboulngandzanga est souvent employé chez les Ewondo au Cameroun pour désigner un sentiment de désordre et de confusion générale qui peuvent régner autour d'une Problématique.

la dot chez nous les Fang Betit a toujours existé à partir de nos ancetres EKANG. C'est une grande cérémoni de la culture fANG Beti qui lie deux famille ,on peut donc dire que c'est un cadeau que le beau fils donne à sa belle fammille pour concretiser l'amour qu'il a pour sa futur épouse . Chez les Fang Beti,ilya deux dots : la dot du beau fils qu'on appelle eveg ngon, et la dot de la belle famille qu'on appelle élere ngon,tout ça c'est les caprices de l'amitié et c'est fait d'une manière on ne peut pas admirable :je crois qu'on ne peux pas dissoudre la dot car elle entre dans nos coutumes . Il est bien vrai qu'on ne doit pas demander à son beau fils de construir des chateau ; ce que notre frère a évoqué plus haut est très vrai, je connais aussi à ambam chez les essandon quelqu'un qui a demandé à son beau fils de lui construir une maison et de lui remettre les clées ; la maison n'était jamais finie , et le mariage meme n'avait pas mi long ,là ce nest plus ladot c'est l'exploitation de l'homme par l'homme . si non, a bobedzan, la dot ane dzom biynengue.AKIBA.

akié a NGON EKANG, deux dots ? meveg mebae ? eveg ngone (dot versée par la famille du futur marié), élere ngone (dot versée par la famille de la future mariée) ? cet second aspect a quasiment disparu de la mémoire collective on dirait.

akiba.